Maman solo assise seule dans son salon, visiblement épuisée, une larme discrète sur la joue.

Emma – Et si j’étais juste fatiguée… d’être forte tout le temps ?

« Il y a des soirs où je suis tellement fatiguée que je n’ai même plus la force de pleurer. Juste… continuer. Comme si c’était normal. »


🧡 Un soir comme un autre. Mais en fait… non.

Il est 20h17.
Naël, 10 ans, vient de finir son dîner.
Emma range les assiettes, éponge une goutte d’eau, replie un torchon.
Et soudain, sans prévenir, une larme coule. Juste une.
Pas de sanglot. Pas de cris. Juste… une larme silencieuse.

Ce soir-là, Emma ne va pas craquer.
Non. Elle va continuer.
Comme d’habitude.

Parce qu’elle est seule à tout gérer.

Et peut-être que toi aussi, en lisant ces lignes…
Tu sens que quelque chose te serre la gorge.


👩‍👦 Qui est Emma ?

Emma a 42 ans.
Elle est maman solo depuis 4 ans.
Son fils Naël est joyeux, sensible, plein de vie.
Mais parfois, Emma se sent invisible. Épuisée. Étouffée.

Elle gère tout : le boulot, les courses, les devoirs, les papiers, les émotions de son fils… et les siennes, qu’elle enterre. Toujours.

Elle sourit devant les autres.
Elle dit « ça va » par réflexe.
Et parfois, elle se demande :
« Est-ce que je vais tenir encore longtemps ? »


🧠 Ce que disent les neurosciences sur la charge mentale invisible

Le cerveau d’Emma — et peut-être le vôtre — fonctionne en sur-régime permanent.

🔄 Son cortex préfrontal (le chef d’orchestre de l’organisation et de la planification) est saturé.

⚠️ Son cerveau limbique (celui des émotions) est en hypervigilance : « Est-ce que Naël va bien ? Est-ce que j’oublie quelque chose ? Est-ce que j’en fais assez ? »

🔥 Son cerveau reptilien (celui de la survie) est en alerte constante, prêt à gérer l’imprévu, les conflits, les urgences… même quand il n’y en a pas.

Résultat ?
Emma est fatiguée sans comprendre pourquoi.
Elle vit en état de tension intérieure permanent, sans aucun bouton « pause ».


🌧 Pourquoi novembre pèse encore plus

En novembre, tout semble plus lourd.

🌫️ Les journées sont plus courtes.
🌧️ Le ciel est plus gris.
💤 Le corps demande du repos… mais la vie ne s’arrête pas.

Pour les parents solos, ce mois peut accentuer la sensation de solitude, d’isolement et de surcharge.


🌱 Et s’il existait un espace pour souffler enfin ?

Non, Emma n’a pas besoin de tout plaquer.
Elle n’a pas besoin d’être « plus forte ».

Elle a besoin de s’autoriser à se déposer.

💡 Voici trois gestes simples que les neurosciences recommandent pour apaiser un système nerveux saturé :

1. Le toucher réconfortant (même à soi)
Poser une main sur sa poitrine et dire intérieurement : « Je suis là pour moi. »

2. Le scan corporel express
Fermer les yeux 2 minutes. Ressentir : où est-ce que ça tend ? Où est-ce que ça respire encore ?

3. Une question douce à se poser
« De quoi j’ai besoin là, maintenant, pour me sentir juste un peu mieux ? »

Ce sont des micro-pas puissants.
Des invitations à sortir du mode « survie » pour revenir à soi.


💞 Vous vous reconnaissez dans Emma ?

Emma n’est pas une exception.
Elle est le reflet silencieux de tant de parents solos qui tiennent bon…
Mais qui n’osent plus demander.

Si vous aussi, vous ressentez cet épuisement discret,
Si vous aussi, vous vous sentez trop seul.e dans le tourbillon,
Sachez que ce n’est pas une fatalité.


🤍 Mon message de coach en neurosciences

Je ne suis pas là pour vous dire d’en faire plus.
Je suis là pour vous apprendre à faire moins, mais mieux.
Avec conscience. Avec douceur. Avec vous-même.

Parce que vous avez déjà tout donné.
Et maintenant, peut-être qu’il est temps de recevoir.

🌟 Recevoir du soutien.
🌟 Recevoir de la compréhension.
🌟 Recevoir des clés concrètes pour reprendre votre souffle.

💌 Si vous ressentez que c’est le moment de vous offrir ça… je suis là.