“Je suis forte.
Toujours forte.
Mais à l’intérieur… je rêve juste d’être légère.”
🎄 Décembre, entre douceur et solitude
Décembre.
Un mois plein de lumières, de sourires affichés, de rituels familiaux…
Mais aussi un mois où la solitude est plus criante, surtout quand on la vit… avec un enfant dans les bras.
Emma est maman solo.
Depuis deux ans.
Et elle gère.
Toujours.
✅ Les devoirs.
✅ Les courses.
✅ Le boulot.
✅ Les rendez-vous médicaux.
✅ Le sapin, les cadeaux, les rires forcés… parfois même pour son propre enfant.
Mais cette année… elle ne veut plus faire semblant.
👩👧 Emma – le cœur épuisé mais encore battant
Emma n’est pas au bord du gouffre.
Elle tient.
Mais elle ne veut plus se contenter de survivre.
Elle ne veut pas d’un énième mois de décembre où elle fait tout toute seule,
sans jamais avoir le droit de dire :
💬 “Je suis fatiguée.”
💬 “J’ai peur.”
💬 “J’aimerais qu’on s’occupe de moi aussi.”
🧠 Ce que dit la neuroscience sur la parentalité solo
Quand une personne porte seule toute la charge physique, mentale et émotionnelle,
le cerveau est constamment en état de vigilance.
🛑 L’amygdale (centre de la peur) est sur-sollicitée.
🌀 Le cortisol (hormone du stress) devient chronique.
🔄 Le système nerveux bascule en mode survie : faire → gérer → tenir.
Résultat :
Le cerveau ne trouve plus de moment de pause.
Il n’enregistre plus la douceur, même quand elle se présente.
C’est exactement ce que vit Emma.
Et ce que vivent tant de mères seules, silencieusement.
🛑 Et si on arrêtait de tout porter seule ?
Ce mois de décembre, Emma a fait un choix radical :
👉 Elle a décidé de ne pas finir l’année comme elle l’a commencée.
Elle ne savait pas comment.
Mais elle a ressenti qu’il était temps de clore un cycle.
Pas celui de la maternité.
Mais celui de la solitude émotionnelle.
🌱 Le rituel d’Emma : déposer, honorer, choisir
Guidée dans un accompagnement doux et respectueux,
Emma a créé son propre rituel de fin d’année.
Pas un truc « magique ».
Juste un moment sacré.
Pour elle.
Et avec sa fille.
📝 Elle a écrit sur un carnet :
« Je laisse derrière moi la croyance que je dois toujours être forte. »
🕯️ Elle a allumé une bougie en disant tout haut :
« Je suis là. Fatiguée, mais là. Vivante. Présente. Et j’ai le droit d’être fragile. »
🎁 Elle a tendu un petit papier à sa fille, avec ces mots :
« Je t’aime fort. Mais cette année, j’ai aussi besoin d’apprendre à m’aimer moi. »
💡 L’effet après : plus qu’un soulagement, une réouverture
Ce soir-là, sa fille lui a répondu :
💬 “Tu sais maman… tu peux aussi me demander de t’aider.”
Et Emma a pleuré.
De soulagement.
De gratitude.
De reconnaissance.
Elle ne s’est pas libérée de toute sa fatigue.
Mais elle a cessé de la porter en silence.
Et c’est ça, le vrai passage.
🧠 Pourquoi ce rituel a apaisé son système nerveux
✔️ Elle a activé son cortex préfrontal (le centre du choix, de la conscience)
✔️ Elle a régulé son amygdale (par la verbalisation des émotions)
✔️ Elle a stimulé son ocytocine (par le lien, le partage, le regard reçu)
💌 Et vous, avez-vous besoin de clore ce cycle d’auto-suradaptation ?
Emma n’est pas seule.
Vous êtes nombreuses à porter des charges invisibles avec courage.
Mais la force ne doit pas se faire contre vous.
Et si cette année, vous déposiez enfin ce qui n’a plus besoin d’être porté seule ?
Je vous accompagne à créer votre propre rituel.
🧩 Simple.
🌱 Respectueux.
💬 Profond.

